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Pour une étymologie vivante

de Florence Deville-Patte

Préface de Rudy Ricciotti

 

Prix TTC : 12,00 € version e.pub

LA FEMME QUI REPLANTAIT DES MOTS

12,00 €Prix
  • POINTS FORTS
     

    • Un essai littéraire qui invite le lecteur (dès l’adolescence) à (re) découvrir 24 mots, soigneusement choisis 

    et « aimés » par Florence Deville-Patte, à partir de leur étude étymologique.

    • Une promenade au cœur de la langue, un éloge de la culture classique et une touche autobiographique !

    • Une écriture à la portée de tous pour apprendre l’origine des mots et leur évolution au cours des siècles.

     

    Je voudrais te parler des mots, de leur histoire, de leur couleur, de leur mélodie, de mes mots préférés aussi. Je voudrais que tu réalises qu’on peut se promener au milieu des mots comme dans une forêt. Ils ont une hauteur, une profondeur, une odeur. Ils ont traversé les siècles : certains se sont chargés de sens – un mot peut même avoir plusieurs significations –, d’autres se sont vidés de leur sens, éreintés par l’usage ou les abus de langage.

    On voudrait te faire croire qu’un vocabulaire minimal te suffit, que le lexique bienséant se limite à la mémorisation des grandes marques, à l’utilisation des mêmes pauvres mots, qu’il suffit de « communiquer » avec des formules toutes faites pour se donner l’impression d’exister. Faut-il pour autant se contenter de cette mécanique ?

    L’histoire de l’homme n’est-elle pas liée à celle des mots créés par lui ? Concomitance. Si tu ignores leur passé, si tu fais fi de leur richesse, il ne te restera plus qu’à suivre les slogans des bateleurs et leur poésie de pacotille, en croyant que les mots ne sont que des sons arbitraires et en te privant à jamais de ces trésors que se sont transmis les générations, siècle après siècle.... 

    ... Je vais te parler des mots que j’aime ou qui simplement m’interpellent : certains sont jolis à entendre, d’autres ont une histoire qui mérite d’être contée. Forts de leur étymologie, les mots véhiculent des images et stimulent l’inspiration, invitent à la rêverie.

    Florence Deville-Patte

     

    Florence Deville-Patte enseigne les lettres classiques dans le secondaire à Marseille. 

    Sous le pseudonyme de Florence Farrow, elle a écrit Conversations imaginaires ou pas avec Rudy Ricciotti (2014) et De mémoire d’Atlante, l’éloge dela pesanteur avec Igor Manfrin (2018) aux éditions Un Autre Reg’Art.

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