LA ROUTE BLANCHE

Entremêlant chronique historique et fiction, ce roman éclaire un pan méconnu de la Seconde Guerre Mondiale. À travers le parcours d’Alexeï, le Kalmouk, et de ses camarades d’infortune, c’est le sort des soldats de l’Est ayant servi dans la Wehrmacht, les Hiwis, et tout particulièrement ceux que l’on appelait les Mongols, que l’on découvre. Au plus près. Des steppes arides de la Caspienne, à la traque des maquis du Tarn. Dans les kommandos de travail ensuite, auxquels ces prisonniers de guerre sont astreints, à titre de réparation. Puis dans les camps de regroupement soviétiques implantés, à la Libération, sur le sol français, où ils attendent leur retour, volontaire ou forcé, quand d’autres cherchent refuge à la Légion. Une histoire d’amour et de mort, doublée d’un étonnant périple.
Jeté dans la tourmente de la guerre, sait-on jamais où peut mener la route blanche ?

Extrait :

 

Michel Cals est issu d’une vieille famille de la Montagne du Tarn. Il a grandi dans une auberge ouverte à la rumeur du monde. Agrégé de Lettres, titulaire d’un Master en Sciences de l’Information et de la Communication, il a enseigné en Afrique du Nord, dans l’Océan indien, en École de Journalisme ainsi qu’à l’Université de Nice. 
Poète, nouvelliste, romancier, scénariste, il aime à  explorer tous les genres. Prix Prométhée en 1989, pour Les Marquises, aux éditions 
de l’âge d’Homme, il a publié depuis une douzaine d’ouvrages. Parallèlement à son travail d’écriture de fiction, il a conduit un travail d’enquête de terrain qui a contribué à faire entrer Vabre, le village dont il est originaire, dans le réseau Villes et Villages des Justes de France de Yad Vashem.  
En 2019, il est coauteur d’un film documentaire intitulé La Vallée des Justes et d’un ouvrage historique, Vabre, Village des Justes aux éditions Un Autre Reg’Art.